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LES EOLIENNES DIFFUSENT DU BIPHENOL PERTURBATEUR ENDOCRINIEN

21 août 2021

LES EOLIENNES DIFFUSENT DU BIPHENOL PERTURBATEUR ENDOCRINIEN

 
https://www.vivreaupieddumontdor.fr/2021/08/les-eoliennes-et-la-pollution-par-le.html?fbclid=IwAR1riSZlr2HjlfuUgxQrAOhZem82SxLj5htAVphylkejmmZmfMdXgLM_RNU
 

Les vendeurs de vent se gardent bien d’exposer ce problème.

 

La pluviosité importante de cette année a attiré l’attention sur les différentes pollutions en milieu naturel.

Une étude internationale vient de démontrer que les quantités de bisphenol émises par les pales d’éoliennes peuvent atteindre 60 kg par an par éolienne, du fait de l’érosion.

Ce matériau est extrêmement toxique, ainsi que le confirme le Ministère de la transition Ecologique.

Ce danger n’a jamais été évoqué dans les dossiers techniques des promoteurs éoliens.

Il concerne la population et les exploitations agricoles riveraines. Le rayon concerné peut atteindre 10 kilomètres.

Il faut déclencher l’alerte auprès des communes, de la police de l’eau, et de l’Agence Régionale de Santé, et demander une campagne de mesures de l’air, de l’eau et des produits agricoles sur au moins une année en vue de prévenir ou de confirmer ce risque, aux frais du promoteur, mais sur contrôle public.

D’après le Ministère de la Transition Ecologique :

« De nombreuses études issues de la littérature scientifique internationale révèlent les propriétés dangereuses du bisphénol A. En 2011, l’Anses a notamment publié deux rapports, l’un relatif aux effets sanitaires du bisphénol A, l’autre à ses usages.

Ce travail a mis en évidence des effets sanitaires avérés chez l’animal (sur la reproduction, la glande mammaire, le métabolisme, le cerveau et le comportement) et d’autres effets suspectés chez l’homme (sur la reproduction, le métabolisme et les pathologies cardiovasculaires) et ce, à de faibles niveaux d’exposition. Ces effets pourraient par ailleurs dépendre fortement des périodes d’exposition au regard des différentes phases de développement de l’individu, notamment pendant la période fœtale particulièrement critique via l’exposition de la femme enceinte, conduisant à identifier des populations particulièrement sensibles (nourrissons, jeunes enfants, femmes enceintes ou allaitantes).

L’Anses recommande une réduction des expositions au bisphénol A, notamment par sa substitution dans les matériaux au contact des denrées alimentaires. La France avait déjà, en juillet 2010, suspendu la commercialisation des biberons au bisphénol. Cette mesure a ensuite été étendue à toute l’Union européenne en janvier 2011 par une directive européenne. »